lundi 31 janvier 2011
dimanche 30 janvier 2011
Victor HUGO |
Il fait froid L'hiver blanchit le dur chemin |
dimanche 16 janvier 2011
samedi 15 janvier 2011
Cake au chocolat à l'ancienne
Note de la recette | |
Niveau de difficulté : | ||
Temps de préparation : | 15 min | |
Temps de cuisson : | 30 à 35 minutes | |
Ingrédients
- 150 g de chocolat dessert
- 3 œufs
- 100 g de sucre en poudre
- 60 g de farine
- 1 c. à café de levure
- 50 g de poudre d'amande
- 80 g de beurre
- beurre pour le moule
Préparation
Préchauffez le four à th.6 (200ºC).
Cassez le chocolat en morceaux. Faites-le fondre au bain-marie avec 5 c. à soupe d'eau et le beurre.
Dans un saladier, battez les œufs avec le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Ajoutez successivement la farine, la levure, la poudre d'amande et le chocolat fondu. Mélangez bien.
Versez la préparation jusqu'à mi hauteur d'un moule à cake beurré et enfournez 30 à 35 minutes.
Attendez 5 min avant de démouler le cake, puis laissez refroidir.
L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde (en anglais, Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde) est une nouvelle écrite par Robert Louis Stevenson et publiée en janvier 1886. Elle conte l'histoire d'un notaire, Gabriel John Utterson, qui enquête sur le lien étrange entre Edward Hyde et le docteur Henry Jekyll.
Le Docteur Jekyll, un philanthrope obsédé par sa double personnalité, met au point une drogue pour séparer son bon côté de son mauvais. C'est ce dernier qui, nuit après nuit, prendra finalement le dessus et le transformera en monstrueux Monsieur Hyde.
Cette nouvelle est devenue un concept central dans la culture occidentale du conflit interne du sens de l'humanité entre le bien et le mal.
Elle peut se lire comme une nouvelle d'épouvante, genre dans lequel elle est considérée comme une œuvre majeure, s'appuyant sur une écriture remarquable et une intrigue très riche. On peut également l'interpréter comme une œuvre sur le dédoublement de la personnalité et l'inconscient décrit par la psychanalyse.
C'est également une allégorie significative sur la tendance victorienne à l'hypocrisie sociale. Cette histoire a fait l'objet d'un nombre très important de pièces de théâtre et de films.
Mattoti et Kramsky l'ont, eux, adaptée en bandes dessinées. Les dessins au pastel de Lorenzo Mattoti sont une opposition permanente de noir bleuté et de rouge illuminé. L'opposition permanente de la lumière et des ténèbres, mais une lumière couleur de feu qui consume tout sur son passage. La première partie de cette très belle BD est très fidèle au livre de Stevenson, mais ensuite c'est le côté sombre de Hyde, sa cruauté, sa luxure, ses meurtres qui sont décrits dans le moindre détail. Ce qui a attiré les auteurs, c'est la représentation du mal. Et Hyde n'est pas le seul acteur de cette pièce sinistre.
Policier à New York depuis douze ans, Lamar est un Noir à la taille imposante. Quand un carnage se produit dans un lycée de Harlem, il est appelé sur les lieux. Un élève de dix-sept ans vient de tirer sur tous ceux qu’il croisait, causant quatorze morts et vingt-et-un blessés. Le jeune tueur est bientôt retrouvé dans le local clos où il s’est suicidé. Complètement effrayé, l’élève Chris DeRoy est découvert caché dans la même pièce. Ayant rassemblé toutes les dépositions, Lamar reconstitue la sanglante matinée du tueur. Celui-ci étant mort, l’affaire est vite close. Mais dix jours plus tard, un deuxième carnage endeuille une école du Queens. Là encore, c’est un élève qui a abattu plusieurs victimes, avant de se suicider. L’analyse des armes utilisées par les deux tueurs indique qu’il existe un lien.
Une nouvelle tuerie se produit dans un autre établissement. Trois carnages en trois semaines selon le même scénario, avec suicide des jeunes tueurs, il n’y a plus de hasard. Il est évident pour Lamar que quelqu’un se cache derrière cette série criminelle. Selon les témoignages, les tueurs étaient des adolescents sans problèmes, un peu solitaires, pas réputés dangereux. L’expert en balistique relève pourtant un indice capital, qui pourrait remettre en cause les suicides volontaires des coupables.
Au lycée de Harlem, si le gardien Quincey est plutôt coopératif, le directeur McLogan ne cache pas son hostilité envers le policier. Néanmoins, Lamar parvient à glaner quelques renseignements. L’un des élèves, à la scolarité problématique, ferait un bon suspect. Un suspect unique. L’adolescent ne se trouve pas au domicile de ses parents quand Lamar et Doris vont l’y chercher. Par contre, dans la cave où il se réunit avec des amis, les policiers découvrent des éléments capitaux. Il faut retrouver leur suspect avant un quatrième carnage…
Le lecteur comprend vite que l’hypothèse d’origine (un tueur par carnage) est trop simple. Mais s’il existe un “exécuteur”, il y a certainement aussi un “commanditaire”, l’un et l’autre n’étant pas si facilement identifiables. Quant au mobile des assassins, il est parfaitement crédible. Néonazisme, extrémisme, haine raciale, tous les ingrédients d'un cocktail explosif. On retrouve la narration fluide et précise de l’auteur. Ce suspense, plus bref que ses romans habituels, offre une facette séduisante de Maxime Chattam, et laisse le goût amer d'un réalisme effrayant.