Carson Mills, petite bourgade des Etats-Unis comme il y en a des centaines, entre les années 60 et 80. Et comme dans les contes les plus horribles, Carson Mills a son croque-mitaine : Jon Petersen.
Dès sa plus tendre enfance, Jon a été un enfant singulier. Renfermé, inadapté social, le garçon est élevé par son grand-père et ses tantes. Son père et sa mère sont morts le jour de sa naissance, dans un affrontement sanglant. Le petit garçon va grandir pour devenir un monstre perv...ers, qui réussira à échapper à la justice, jusqu’à ce que la mort le fauche. Viols, meurtres, rien n’arrêtera cet homme intelligent qui détruira toutes les personnes qui ont le malheur de croiser son chemin.
Dès sa plus tendre enfance, Jon a été un enfant singulier. Renfermé, inadapté social, le garçon est élevé par son grand-père et ses tantes. Son père et sa mère sont morts le jour de sa naissance, dans un affrontement sanglant. Le petit garçon va grandir pour devenir un monstre perv...ers, qui réussira à échapper à la justice, jusqu’à ce que la mort le fauche. Viols, meurtres, rien n’arrêtera cet homme intelligent qui détruira toutes les personnes qui ont le malheur de croiser son chemin.
« Qui a tué Jon Petersen » pourrait également être le titre de ce roman. Nous ignorons qui est le narrateur qui s’adresse à nous pour nous raconter tout cela. Il semble impossible que quelqu’un en sache autant. Est-ce l’auteur ? Ou l’un des personnages de l’intrigue ? Le livre à un goût de confession, que l’on comprend à la fin, une fin qui ne peut s’installer qu’avec la mort de Jon Petersen, seul moyen d’en terminer avec ses obscures pulsions. Mais la mort de Jon n’est pas la seule intrigue à trouver solution au final.
Maxime Chattam signe là un nouveau roman passionnant, avec des personnages étudiés, une atmosphère lourde et dérangeante, un questionnement sur l’être humain comme il a l’art de le faire. Si le début de l’histoire met un peu de temps à se poser, le sursaut finit par survenir et la deuxième moitié du roman se lit d’une traite. Une histoire à part, dans laquelle le Mal tient le rôle principal aux côtés du lecteur lui-même …
Maxime Chattam signe là un nouveau roman passionnant, avec des personnages étudiés, une atmosphère lourde et dérangeante, un questionnement sur l’être humain comme il a l’art de le faire. Si le début de l’histoire met un peu de temps à se poser, le sursaut finit par survenir et la deuxième moitié du roman se lit d’une traite. Une histoire à part, dans laquelle le Mal tient le rôle principal aux côtés du lecteur lui-même …
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