dimanche 26 mai 2013

Level 26



 Les policiers du monde entier classent les meurtriers sur une échelle de 1 à 25, selon leur dangerosité. Ce que personne ne sait, c'est qu'un tueur échappe à cette classification. Sa cible : n'importe qui. Son mode opératoire : n'importe lequel. Son surnom : Sqweegel. Sa classification : NIVEAU 26. 
Seul Dark, ancien agent fédéral, peut l'arrêter. Depuis que le monstre a massacré sa famille, il a quitté le métier, se jurant de ne plus mettre les pieds en enfer. Mais bientôt, il n'aura plus le choix.





Beaucoup d'hommes ont voulu lutter contre leur destin et le changer. Mais c'est de la folie." Cinq ans après, Steve Dark tente encore d'oublier le meurtre de sa femme, dont il se sent responsable. Mais Dark n'est pas un homme ordinaire. C'est un chasseur avisé et méthodique, capable d'infiltrer les esprits les plus aliénés. Affranchi de tout carcan judiciaire et moral, dégagé des procédures gouvernementales, il reprend la traque.







Le jour, Steve Dark élève seul sa fille de cinq ans. La nuit, il fait ce pour quoi il est né : attraper les monstres.
Le tueur, surnommé Labyrinthe, veut changer le monde : abattre les compagnies pétrolières, en finir avec les juges corrompus, les requins de la finance, les journalistes hypocrites... Mais il veut aussi qu’on parle de lui. Tous les moyens sont bons pour véhiculer son message, surtout les plus violents : à l’occasion de chaque attentat, il envoie une devinette et une montre décomptant les minutes avant l’action, et poste bien entendu les vidéos des victimes sur Internet. Très vite, il est félicité, admiré, adulé presque. Steve Dark saura-t-il arrêter la contagion ? Contrôle. Domination. C’est comme cela qu’il veut sauver le monde. Un meurtre après l’autre. 

Les trois romans se lisent très vite, l'intrigue est prenante, le scénario est rôdé. Mais on reste sur sa faim. La promesse de compléments sur Internet n'est pas tenue: les vidéos proposées sont réellement sans grand intérêt. J'ai regardé les premières, puis laissé tombé, le roman se suffit à lui-même. On reste aussi sur sa faim pour ce qui est du passé de Dark; tout au long des trois tomes, on attend des réponses ... qui ne viennent pas. Cela reste tout de même une bonne série.

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